Pour son dernier Espace Renault serait mis en cause dans ces premiers résultats selon France Info « avec des dépassements
de 5 à 10 fois supérieurs aux normes CO2 et
de 3 à 25 fois supérieurs en oxyde d’azote (NOx»
L’association Deutsche Umwelthilfe (DUH), avait indiqué le 24 novembre que les émissions d’oxydes d’azote (NOx) de la Renault Espace 1.6 dCi avaient atteint un niveau jusqu’à 25 fois supérieur au plafond autorisé, quand on le mesure à moteur chaud et non à froid, par la norme actuelle Euro-6 lors de tests réalisés par l’université de Berne.
Selon la DUH, des niveaux d’émissions excessifs ont été mesurés sur la Renault Espace diesel, lors de cinq tests distincts de type NEDC (New European Driving Cycle).
6 tests menés par l’université de sciences appliquées de Berne, en Suisse, ont fait ressortir des niveaux d’émission de 13 à 25 fois supérieurs aux 80 mg/km autorisés, un test faisant même état d’émissions à plus de 2 000 mg/km, indiquait la DUH.
En décembre, Renault avait annoncé un investissement de 50 millions d’euros pour réduire l’écart entre les émissions polluantes de ses voitures en conditions d’homologation et en situation réelle.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/automobile/article/2016/01/15/accusation-contre-renault-le-dernier-espace-au-centre-des-investigations_4847789_1654940.html#vIhjawkgk1QE5hze.99Selon France Info, Renault est mis en cause dans ces premiers résultats « avec des dépassements de cinq à dix fois supérieurs aux normes CO2 et oxyde d’azote (NOx) pour le dernier Espace ».
Niveaux d’émission de 13 à 25 fois supérieurs
L’association Deutsche Umwelthilfe (DUH), farouche critique des moteurs diesels, avait indiqué le 24 novembre que les émissions d’oxydes d’azote (NOx) de la Renault Espace 1.6 dCi avaient atteint un niveau jusqu’à 25 fois supérieur au plafond autorisé, quand on le mesure à moteur chaud et non à froid, par la norme actuelle Euro-6 lors de tests réalisés par l’université de Berne. Selon la DUH, des niveaux d’émissions excessifs ont été mesurés sur la Renault Espace diesel, lors de cinq tests distincts de type NEDC (New European Driving Cycle).
Six tests menés par l’université de sciences appliquées de Berne, en Suisse, ont fait ressortir des niveaux d’émission de 13 à 25 fois supérieurs aux 80 mg/km autorisés, un test faisant même état d’émissions à plus de 2 000 mg/km, indiquait la DUH.
En décembre, Renault avait annoncé un investissement de 50 millions d’euros pour réduire l’écart entre les émissions polluantes de ses voitures en conditions d’homologation et en situation réelle.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/automobile/article/2016/01/15/accusation-contre-renault-le-dernier-espace-au-centre-des-investigations_4847789_1654940.html#vIhjawkgk1QE5hze.99
Selon France Info, Renault est mis en cause dans ces premiers résultats « avec des dépassements de cinq à dix fois supérieurs aux normes CO2 et oxyde d’azote (NOx) pour le dernier Espace ».
Niveaux d’émission de 13 à 25 fois supérieurs
L’association Deutsche Umwelthilfe (DUH), farouche critique des moteurs diesels, avait indiqué le 24 novembre que les émissions d’oxydes d’azote (NOx) de la Renault Espace 1.6 dCi avaient atteint un niveau jusqu’à 25 fois supérieur au plafond autorisé, quand on le mesure à moteur chaud et non à froid, par la norme actuelle Euro-6 lors de tests réalisés par l’université de Berne. Selon la DUH, des niveaux d’émissions excessifs ont été mesurés sur la Renault Espace diesel, lors de cinq tests distincts de type NEDC (New European Driving Cycle).
Six tests menés par l’université de sciences appliquées de Berne, en Suisse, ont fait ressortir des niveaux d’émission de 13 à 25 fois supérieurs aux 80 mg/km autorisés, un test faisant même état d’émissions à plus de 2 000 mg/km, indiquait la DUH.
En décembre, Renault avait annoncé un investissement de 50 millions d’euros pour réduire l’écart entre les émissions polluantes de ses voitures en conditions d’homologation et en situation réelle.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/automobile/article/2016/01/15/accusation-contre-renault-le-dernier-espace-au-centre-des-investigations_4847789_1654940.html#vIhjawkgk1QE5hze.99
Selon Ségolène Royal, la ministre de l’écologie, les tests chez Renault, réalisés dans le cadre de l’enquête gouvernementale sur les émissions polluantes du diesel, lancée après l’affaire Volkswagen, ont confirmé des dépassements de normes par Renault, ajoutant que ce n’est pas le cas chez l’autre constructeur français, PSA Peugeot Citroën
Ségolène Royal, est consciente du problème et elle cautionne ?
et on laisse faire, roulez jeunesse ...
et on fait quoi pour les bonus - malus ??
va falloir taxer les propriétaires se retourneront vers Renault pour tromperie et demanderont l'annulation de la vente
LES PRIX DU RENAULT ESPACE 5 :
– Renault Espace 5 LIFE diesel Energy dCi 130 BVM6 119 g co²/km : 34 200 euros
– Renault Espace 5 ZEN diesel Energy dCi 160 EDC6 123 g co²/km : 39 200 euros
– Renault Espace 5 ZEN essence Energy TCe 200 EDC7 140 g co²/km : 37 700 euros et 250 euros de malus
– Renault Espace 5 INTENS diesel Energy dCi 160 EDC6 123 g co²/km : 42 300 euros
– Renault Espace 5 INTENS essence Energy TCe 200 EDC7 140 g co²/km : 40 800 euros et 250 euros de malus
– Renault Espace 5 INITIALE PARIS diesel Energy dCi 160 EDC6 123 g co²/km : 46 300 euros
– Renault Espace 5 Essence energy TCe 200 EDC7 140 g co²/km : 44 800 euros et 250 euros de malus
Demander réparation en cas de tromperie suite à l'achat d'une voiture d'occasion
Permet à l'acheteur, qui a été trompé sur l'état réel du véhicule qu'il a acheté d'occasion, de demander au vendeur de prendre en charge les réparations chez le garagiste ou de reprendre le véhicule et d'obtenir le remboursement de la somme versée
Tromperie à la vente : les recours existent
Vice caché. Les articles 1641 et suivants du Code civil précisent que, si vous aviez eu connaissance du défaut rendant votre achat impropre à l’usage ou diminuant ses qualités, vous ne l’auriez pas acheté ou alors, à moindre prix.
Non-conformité. L’article L211-4 du Code de la consommation (ordonnance du 17 février 2005) concerne l’obligation de délivrance. C’est elle qui vous protège en cas de différence entre le modèle commandé et celui livré (puissance du moteur inférieure, compteur trafiqué…). Dans l’idéal, écrivez sur la facture : “sous réserve de conformité”. Car cela vous donne deux ans pour vous retourner contre le vendeur à partir de la prise de possession. En revanche, pour ce qui est des vices cachés, ce délai prend effet à compter de la découverte du défaut.
Filouté par un concessionnaire
Voici les principales arnaques enregistrées par la DGCCRF * : cure de jouvence du compteur, ancienne voiture d’auto-école ou de location vendue pour une première main, occasion passée au marbre non signalée, contrôle technique arrangé, etc.
LE CONSEIL D’AUTO PLUS : Dès que vous avez connaissance du problème, faites établir un rapport d’expert ou d’huissier. Puis tentez un arrangement à l’amiable avec le vendeur. Vous pouvez demander l’annulation de la vente, si le préjudice est important. Ou un dédommagement partiel, si vous décidez de garder l’auto. Faute d’accord,
portez plainte auprès de la DGCCRF * en cas de tromperie avérée. Puis entamez une procédure (tribunal d’instance, si la valeur du véhicule est inférieure à 7 500 € ; de grande instance au-delà).